D’où ça vient ?
Screenshot du jeu de npckc
Le premier jeu Bitsi qui m’a marqué a été ghostwriters & co.. Un jeu de npckc, que je connais bien, notamment pour son visual novel avec des personnages LGBT.
Je ne connaissais alors pas Bitsy, encore moins bipsi (un fork du truc) avec lequel npckc a fait ce jeu. Je découvre alors un monde assez nouveau et un outil qui semble trop bien : bipsi
Mon exploration progressive des queer games que je vois ici et là me questionne sur un fait peu habituel chez moi. Je me demande si par hasard je serais pas un peu capable de faire un petit jeu. Je crois même que j’ai envie.
Comme quand je découvre pleins de logiciel, j’ai cette petit envie. J’ai donc fait, il y a déjà longtemps, des vidéos nulles, des petits créa graphiques, un tantinet de 3D. Bref, j’aime bien les outils, d’autant plus open-source, et j’aime bien les jeux - parfois.
Que faire ?
Que faire avec cet outil et pourquoi ?
Bonne question sachant que je n’ai aucune confiance en moi.
Déjà, en explorant un peu l’outil et les jeux produits avec (et si on lis une ou deux page de la doc), on comprend ce que bipsi peut faire. La réponse :
bipsi is intended to make the same form
of games as bitsy:
you control a character and navigate
through interconnected rooms to encounter
characters and objects that talk to you
through lo-fi imagery and poetic text,
they depict a space, story, or feeling
there is rarely any element of puzzle
solving, system simulation, or choice
they usually demand no more than ten or
so minutes of play time
Facile donc, c’est parti pour faire un jeu. L’esthétique me plait, le concept aussi.
Un idée ? Un départ ?
J’avais envie d’essayer, pourquoi pas, de faire un petit autour de mon expérience de l’anxiété social, et peut-être la dévalorisation de moi. On verra donc comment l’idée mûr, si j’en suis capable et si ça prendra forme, même une bébé forme, je serais contente.
Prochaine étape : voir la doc petit à petit.
